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Fiche familiale
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 Roger DE TRAGÓNaissance ± 1450. Profession: Doncell de Ballaguer Trago_de_Castellbo.png  Trago_de_Castellbo.png La famille est originaire de la localité de Tragó (dont elle a pris le nom), appartenant à l'arrondissement judiciaire de Balaguer (Lérida). Dans un champ d'Or, avec deux ailes simples placées en ligne. D'après un dossier de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem et de l'héraldiste De Prast. J. R. Les émaux de l'arme Tragó proclament les valeurs suivantes : L'or est le symbole du Soleil, origine de la vie, ses caractéristiques spirituelles correspondent à la foi, la clémence, la tempérance, la charité et la justice, d'autre part ledit émail indique la famille avec bonheur, amour, noblesse et splendeur, c'est-à-dire qu'il est le plus noble des métaux. ...
Marié/ Relation avec: Enfants: 1.
Salvador DE TRAGÓ Y de NOVESNaissance ± 1470, Décès ± 1530, âge approximativement 60 ans. Profession: Olim de Roca, Juge du Vicomté de Castellbó, Chatelain des châteaux de Estamariu et de Santa Creu Trago_de_Castellbo.png Trago_de_Castellbo.png Olim de Roca, Juge du Vicomté de Castellbó, Châtelain de Estamariu et Santa Creu et greffier héréditaire de Tirvia et Valferrera. Salvador de Tragò, Seigneur de Castellbò, Chatelain des châteaux de Estamariu et de Santa Creu. Il est le fils de Roger de Tragò, seigneur de Balaguer. Il fut juge du vicomté de Castellbò et notaire héréditaire de Tirvia e Valferrera. Élevé à la dignité de noble par le roi Don Carlos l. A ce titre, il fréquente les Cortes de Barcelone en 1519. Castellbò est un territoire conflictuel, frontalier et inféodé à Oliver de Boteller qui a contribué à augmenter l'instabilité de la vicomté préoccupe de plus en plus les autorités royales. Dans ces circonstances, on ne sait si c'est par initiative royale ou par les habitants eux-mêmes de la vicomté, la procédure visant à incorporer ce territoire à la propriété s'engagea Royal. Il ne faut cependant pas oublier qu'en 1512 les habitants de Castellbò dirigés par Salvador de Tragó a exigé que la vicomté ne soit pas séparée de la couronne. Il est important de retenir ce fait pour comprendre la défense acharnée que la famille Tragó ferait les années suivantes dans ce sens, défendant toujours que la vicomté faisait partie de la couronne et qu'elle ne sera cédée à aucun barons ! "La vicomté de Castellbò, initialement née comme un ensemble de territoires et propriété des vicomtes d'Urgell depuis le Xe siècle, possédait un évolution juridictionnelle singulière qui l'a conduit à dépendre des comtes de Foix et plus tard, déjà au XVe siècle, des rois de Navarre. L'année En 1512, la monarchie des Rois Catholiques a commencé la conquête du Royaume de Navarre, et en même temps l'intégration a également été décrétée de la vicomté de Castellbò aux possessions de la couronne royale. L'année suivante, le roi Ferdinand donna la vicomté à sa femme germanique de Foix, donation qui sera confirmée en 1519 par l'empereur Charles, et qui est il tournerait de vie en vie. Des années plus tard, en 1528, Sister alla donner la vicomté à Lluís Oliver de Boteller, noble de Tortosa, qui l'année suivante rendit hommage au monarque comme vicomte de Castellbo." Coïncidant avec l'augmentation de la violence, en 1537 le seigneur de Meca est venu avec cinquante hommes, pour s'emparer de la juridiction de la vicomté et la placer sous tutelle royale. La juridiction de Sant Serni de Tavèrnoles fut également saisie.Vers 1539-1540, mais avec Joanot Cadell réfugié en France et le bandit Fusteret capturé par les officiers royaux, la situation semblait s'améliorer, et de la cour il a été jugé que les habitants eux-mêmes de la vicomté de verser à Oliver de Botteler les sommes équivalentes au recensement de 1528. En décembre de 1539, la cour eut des nouvelles que « des trois parties de la vicomté, plus de deux sont heureux de s'unir pour décharger le terrain et payer au seigneur Olivier de Botteler », dans le mois ensuite Castellbò avait déjà promis de contribuer une certaine somme d'argent, en attendant des dispositions ont été prises pour que d'autres cantons de la vicomté emboîtent le pas. En juin ils ont affirmé qu '"ils ne deviendront en aucun cas les vassaux de qui que ce soit, mais ils le veulent être ratachés à la courrone », et le tribunal tenta son incorporation aux biens immobiliers, comptant entre autres avec le Seigneur de Tragó, qui déjà en 1512 avait demandé à la vicomté de ne pas séparer de la couronne. Pâturages entre la France et l'Andorre La présence des prairies était vraiment importante pour les habitants des régions montagneuses, habitués aux échanges avec l'Andorre et la France. L'existence de vastes zones de pâturage dans les zones montagneuses n'a cependant pas complètement éliminé les conflits de voisinage qui naissaient autour de certains droits et coutumes traditionnels lors du pâturage du bétail. Un procès qui a été résolu, le 31 mai 1499, par le juge de la vicomté de Castellbò Salvador de Tragó. Depuis lors, les habitants de Castellbò ont pu conduire leurs troupeaux, à la fois les leurs et en partenariat, à paître à la fois sur la montagne de Ras de Conques, "juste en dessous du Camino Pallarés. Cortes de Barcelone en 1503 Le 7 septembre 1512, Salvador de Tragó fut envoyé à Logroño pour rendre hommage au roi au nom des consuls de Castellbò, à la condition, entre autres, que le vicomté ne soit pas séparé de la couronne. Le 16 avril 1519, il est élevé à la dignité de chevalier par le roi Charles Quint. Il a assisté aux Cortés de Barcelone en tant que tels. "Archives privées de Don José de Gramunt". Par lettre du 13 décembre 1519 (Molins de Rey), la reine Germaine de Foix désigne Joan Tragó (fils d'Antonio), trésorier de la Vicomté, Salvador Tragó, syndic et juge ordinaire, Pierre Tragó, bachelier in utroque jure, maître racionel, avocat du fisc et notaire, Gaspar de Lordat, gouverneur et viguier, Nicolas Climent, procureur fiscal, pour assister Miguel de Hospital, chevalier, docteur in utroque jure, conseiller, commissaire spécialement chargé de la rédaction et de la publication des ordinations de la Vicomté de Castelbó 1516 juny-juliol. Vilamur "Judici per bruixeria contra Margarida Guitarda de Llagunes." O. ADM, Vilamur, doc.76. Lagunes del Vicondado de Vilamur "Bruxas" "Ad auditum fisci procuratoris fama publica referente pervenit contra Marguarita, uxor Joannis Guitart, loci de Legunes, vallis de Vilamuro, diaboliquo spiritu seducta, maleficam artem cum aliis pessimis mulieribus exercuit per multos annos, et abnegato Dei Omnipotentis nomine, infamatum Diaboli se ipsum dedit, et ipsum neguifficum demonem secuta, et ab illo adjura, mortes et infirmitates diversis personis et maxime infantibus intulit et noxia venena dedit, multaque alia execranda maleficia comissit contra Sancta Matris Ecclesie, fidem catholicam et in maximum rei publice detrimentum, quam ob rem dicto fisci procuratore instante per magnificum dominum Berenguarium de Copons domicellum, procuratorem generalem marchionatum Pallariensi et vicecomittatum de Vilamuro pro multum illustri domino duci Cardone, magnoque Aragonum, contestabulo et marum almirati, marchio pallariensi, comitte montaneatis de Prades et vicecomitte de Vilamuro et cetera, et de consilio magnifici Salvatoris Tragó, legum doctoris, iudice ordinarii dicti marchionatus et vicecomittatus,ffuit processum ad inquirendum de premissis sub forma sequenti. " Sources : Caballeros de la Espuela Dorada del Principado de Cataluña, dinastia de Trastamara 1412-1555 (page 188) Sources : Mémoires pour l'histoire de Navarre et de Flandre contenans le droit du roy au Royaume de Navarre (pages 111 & 122) Sources : Relacions entre el comtat de Foix i el Bandolerisme a L'Alt Urgell i la Cerdanya durant el segle XVI - Lluís Obiols Perearnau Institut d’Estudis Comarcals de l’Alt Urgell (page 115) Sources : « Spill manifest de .tot les coses del Vezcomdat de Castellbo. » Original. Registre papier de 170 feuillets de 86 cm. 1/2 sur 25. Rédaction de Pierre Trago commencée le 18 juin 1518 et terminée le 13 août 1519 ; la reliure porte la date de 1552. Classe 2, C. n° 60. 2.
 Caterina Nicolasa DE TRAGÓ Y de NOVESProfession: châtelaine du château de Tragó, de Noves, de Sant Magui de Guils del canto, de Sant Andreu, de Carmaniu, de Vescarbo et de Malvehi Trago_de_Castellbo.png Trago_de_Castellbo.png Carlana del Castillo de Tragó, De Noves, de Sant Magui de Guils del canto, de Sant Andreu, de Carmaniu, de Vescarbo et de Malvehi (mariée à Ramon Vidal de Roca y de Negrell "Alias de Tragó" Chevalier de Castellbó, De Sant Andreu y Carmaniu) vers 1470 son fils Joan de Trago olim de Roca a épousé Maria Ana de Peguera y de Vilanova. | |||
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